Afrinic organise le premier Africa Internet Summit

AFRINIC et AFNOG organisent la première édition de l’Africa Internet Summit du 9 au 21 juin en Zambie. L’objectif : encourager le développement d’Internet en Afrique

AFRINIC est un acteur majeur du développement d’Internet en Afrique. © Flickr

AFRINIC est un acteur majeur du développement d’Internet en Afrique. © Flickr

Publié le 30 mai 2013 Lecture : 1 minute.

Internet au service du développement. C’est le thème qui a été choisi pour la première édition de l’Africa Internet Summit (AIS) qui aura lieu à Lusaka (Zambie), du 9 au 21 juin. AFRINIC, ONG chargé de la gestion des adresses IP (identifiant chaque appareils – ordinateur, imprimante….- connectés au web) et AfNOG, le groupe des opérateurs de réseaux africains sont les deux principaux organisateurs. Entreprises spécialisées dans les technologies de l’information et de la communication (TIC), gouvernements, experts techniques, fournisseurs de services Internet participeront au sommet. A travers différentes activités telles que des conférences, des tables rondes, des tutoriels et des ateliers pratiques, l’AIS ambitionne d’être une plateforme d’échange autour des politiques de gestions des ressources Internet. D’autres questions telles que la téléphonie mobile et les aspects techniques d’Internet seront aussi abordées.

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AFRINIC, les coulisses de l’Internet africain

En marge de ce sommet se tiendra également la 18eme Réunion des politiques publiques et l’Assemblée générale des membres d’AFRINIC, acteur du développement d’Internet en Afrique. Cette ONG, reconnue par l’ICANN (organisme qui coordonne les adresses IP au niveau international) en avril 2005, tient le registre régional Internet pour l’Afrique et l’Océan Indien. Elle est responsable de la distribution et de la gestion des ressources internet telles que les adresses IP (protocole Internet). Son but essentiel est de s’assurer que tous les opérateurs dans les pays africains aient accès aux adresses IP. Depuis 2005, elle a organisé plus de cent formations dans près de cinquante pays africains sur la gestion des ressources internes et sur la transition d’IPv4 vers IPv6. En effet, la version 4 des adresses IP (IPv4) étant presque toutes épuisées, il est nécessaire que les différents acteurs Internet apprennent à utiliser la nouvelle norme d’adresses IP.

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