France – Tunisie : une coopération ingénieuse

Publié le 18 novembre 2010 Lecture : 1 minute.

Formation : les Africains premiers de la classe pour la mobilité
Issu du dossier

Formation : les Africains premiers de la classe pour la mobilité

Sommaire

L’École nationale d’ingénieurs de Bizerte (Enib), créée en 2009, compte bien contribuer à l’objectif fixé par la Tunisie de former 9 000 ingénieurs par an d’ici à 2013, soit le double d’aujourd’hui. Issue de la coopération franco-tunisienne, l’Enib est destinée à former 1 200 ingénieurs de haut niveau par an dans les domaines du génie civil, de la mécanique et de l’industrie. La coopération française contribue aux cursus et à l’appui pédagogique par le soutien académique d’écoles d’ingénieurs françaises, dont l’École nationale supérieure d’arts et métiers (Ensam) et le groupement « Arts et métiers ParisTech ». L’apport financier de la coopération s’élève à 15 millions d’euros, répartis entre plusieurs opérateurs français, dont l’Agence française de développement (AFD) à hauteur de 10 millions d’euros.

La Matinale.

Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.

Image

Dans le même dossier

dans une université équato-guinéenne. © Vincent Fournier/J.A.

Les Africains, premiers de la classe pour la mobilité