Éric Deguenon et J.A. …

Consultant en management et communication 32 ans, lit Jeune Afrique depuis le début des années 2000

Publié le 17 novembre 2010 Lecture : 1 minute.

50 ans, 50 lecteurs, 50 regards sur J.A.
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50 ans, 50 lecteurs, 50 regards sur J.A.

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Si Jeune Afrique n’existait pas, il faudrait l’inventer, et je vous remercie de l’avoir fait il y a de cela cinquante ans. J’apprécie l’hebdomadaire panafricain, le seul qui a surmonté les obstacles en accompagnant l’Afrique de sa naissance jusqu’à sa maturité : indépendance, mondialisation, développement. Les gagneurs ne lâchent jamais et les lâcheurs ne gagnent jamais : vous êtes les gagnants et méritez respect et considération. Je vous suggère de rester sans parti pris dans le traitement de l’information, sinon vous paraîtrez à la solde des pouvoirs politiques et serez discrédités aux yeux des citoyens, qui aspirent à un véritable changement démocratique. Mettez également en avant ce qui marche le mieux, afin de soigner davantage l’image du continent auprès des investisseurs et aider, par la même occasion, les Africains à avoir confiance en eux. Pour ma part, je reste convaincu que, si un renouveau et un changement de mentalité s’opèrent parmi les dirigeants africains, le développement de l’Afrique sera une réalité… dans les cinquante prochaines années. 

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