Boubouh Lah et J.A. …
Commerçant – 53 ans, lit Jeune Afrique depuis 1981
50 ans, 50 lecteurs, 50 regards sur J.A.
Je me souviens particulièrement de ce numéro du 28 octobre 1987, titré : « Sankara : comment et pourquoi on l’a tué », avec une enquête de Sennen Andriamirado, qui était proche de l’ancien leader burkinabè. Le jour de sa parution, il y avait une foule immense devant la librairie Devès et Chaumet, à Bamako, et malgré cela j’ai été le premier servi. Il faut dire que j’étais parti de chez moi très tôt pour occuper la première place. À l’époque, je payais même le taxi aller et retour pour me procurer l’hebdomadaire. Pourtant le trajet me coûtait 2 000 F CFA, c’était plus cher que le journal !
C’est dire si je suis attaché aux valeurs de Jeune Afrique : recherche de la vérité, sérieux de l’enquête, pertinence des analyses. Et je suis fier d’y avoir lu les écrits des grandes plumes de l’époque : Béchir Ben Yahmed, Abdelaziz Dahmani, Sennen Andriamirado et François Poli. Je garde tous les numéros, et on peut les consulter dans mon magasin.
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