Ismaël Nandian Ouedraogo et J.A. …

Chef d’une entreprise de BTP 39 ans, lit Jeune Afrique depuis trente ans

Publié le 17 novembre 2010 Lecture : 1 minute.

50 ans, 50 lecteurs, 50 regards sur J.A.
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50 ans, 50 lecteurs, 50 regards sur J.A.

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J’ai commencé à lire Jeune Afrique à voix haute, dès l’âge de 10 ans. En fait, je le lisais pour mon père, Bougouraoua Ouedraogo, aujourd’hui disparu, qui fut député au Palais-Bourbon [l’Assemblée nationale française, NDLR] et plusieurs fois ministre sous le régime de Maurice Yaméogo, le premier président de la Haute-Volta (actuel Burkina Faso). Malgré le handicap dont il était atteint, il tenait à sa lecture hebdomadaire de J.A., que nous achetions chaque semaine dans notre point de vente habituel. Ce rituel a continué jusqu’en 2005, année de son décès à l’âge de 90 ans. Et il perdure aujourd’hui avec moi.

J’ai particulièrement aimé le numéro du 11 octobre 2009 sur les Libanais d’Afrique. Par ce type d’enquêtes, J.A. nous permet de nous instruire, de mieux connaître notre propre continent et nos propres voisins. Je me suis néanmoins fâché, à un moment donné, avec Béchir Ben Yahmed, qui nous avait imposé le mot « intelligent » en titre du journal. Fort heureusement, « le Vieux » est revenu sur sa décision, en nous ôtant finalement cet adjectif de trop. Jeune Afrique est déjà intelligent. Merci BBY.

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