Recrutement tous azimuts chez la marque au losange

Carlos Ghosn, le président de Renault-Nissan, le 1er septembre 2007, à Tanger. © AFP

Carlos Ghosn, le président de Renault-Nissan, le 1er septembre 2007, à Tanger. © AFP

ProfilAuteur_ChristopheLeBec

Publié le 14 octobre 2010 Lecture : 1 minute.

Automobile : nouveau moteur pour l’Afrique
Issu du dossier

Automobile : nouveau moteur pour l’Afrique

Sommaire

Le bassin d’emploi de la région de Tanger étant insuffisant pour les besoins de Renault, le programme de recrutement du groupe pour son usine de Tanger Med est national. Tous les profils sont recherchés, tant pour la fabrication en usine que pour les fonctions supports.

« Nous avons un partenariat avec l’agence pour l’emploi [Anapec], qui diffuse nos offres », explique Mohamed Bachiri, directeur des ressources humaines de Renault Maroc. Des conventions ont en outre été signées avec l’École nationale supérieure d’électricité et de mécanique de Casablanca (Ensem) et les universités de Tanger, qui ont adapté certaines de leurs formations au cahier des charges de la marque au losange.

la suite après cette publicité

« Mais nous allons aussi recruter des Marocains à l’extérieur car le pays, n’ayant pas de tradition automobile, ne dispose pas de tous les profils recherchés », poursuit Mohamed Bachiri. Les jeunes diplômés marocains des grandes écoles francophones sont particulièrement visés. « Nous sommes allés dans des salons de recrutement à Lyon, Paris et même Montréal. » À ce jour, Renault annonce avoir recruté une vingtaine d’ingénieurs marocains diplômés à l’étranger.

La Matinale.

Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.

Image

Dans le même dossier

Sur l’ensemble des voitures qui débarquent par an à Cotonou, 5 à 10 % restent dans le pays. © AFP

Un marché des occasions rentable

Oussama Ziouziou, futur chef d’équipe à Renault Tanger Med, en septembre à l’usine de Flins. © CAMILLE MILLERAND POUR J.A.

Renault-Flins, banc d’essai des Marocains