Les émirs d’Aqmi

 Parmi les chefs de l’Aqmi, on retrouve des terroristes qui s’étaient déjà distingués au sein de son ancêtre, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC).

Abdelmalek Droukdel (à d.) a fait allégeance à Ben Laden en septembre 2006. © AFP

Abdelmalek Droukdel (à d.) a fait allégeance à Ben Laden en septembre 2006. © AFP

Publié le 23 septembre 2010 Lecture : 1 minute.

Terrorisme : objectif Afrique
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Abdelmalek Droukdel

Né en 1970 près d’Alger, ingénieur de formation, Abou Moussab Abdel­wadoud – son nom de guerre est un ancien des GIA. Artisan de l’allégeance du GSPC à Ben Laden, il fait figure d’émir en chef d’Aqmi.

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Abdelhamid Abou Zeid

Algérien, la cinquantaine, l’ancien lieutenant d’Abderrazak el-Para (numéro deux du GSPC), règne sur une katiba réputée féroce. Il a néanmoins accepté la libération de Pierre Camatte, moyennant l’élargissement de quatre combattants.

Mokhtar Belmokhtar


© D.R.

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Né à Ghardaïa (Algérie) en 1972, « le Borgne » est l’ancien émir du GSPC pour la zone Sahara-Sahel. Marié à une Touarègue, il est plus enclin à la négociation que son rival Abou Zeid. C’est toutefois lui qui a commandité l’attaque de Lemgheity en 2005.

Abdelkrim

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Surnommé Taleb, cet ancien imam de Khalil (Mali), serait le dernier né des chefs d’Aqmi. Touareg, de nationalité malienne, il est l’un des rares émirs non algériens. Il règne sur un groupe de 60 hommes.


Carte délimitant la zone d’activité directe d’Aqmi dans le Sahel.
© AFP/INFOGRAPHIE

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