Non-lieu pour le Monsieur Afrique de Chirac dans l’affaire Borrel
Michel de Bonnecorse, dont les confidences à Jeune Afrique ont coûté un procès intenté par la veuve du juge Borrel et le Syndicat de la magistrature, a obtenu un non-lieu.
![Michel de Bonnecorse, ancien Monsieur Afrique de Jacques Chirac. © D.R.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2010/09/15/015092010112122000000Bonnecorse.jpg)
Michel de Bonnecorse, ancien Monsieur Afrique de Jacques Chirac. © D.R.
Poursuivi par Françoise Borrel (la veuve du juge mort à Djibouti en 1995) et par le Syndicat de la magistrature pour des propos tenus à Jeune Afrique, en mai 2007, dans lesquels il mettait en doute la thèse de l’assassinat, Michel de Bonnecorse, l’ancien Monsieur Afrique de Jacques Chirac (aujourd’hui conseiller de Jacques Saadé à CMA-CGM), a bénéficié d’un non-lieu discret au cœur du mois d’août.
Le juge d’instruction du tribunal de grande instance de Paris a estimé qu’en se confiant à J.A., Bonnecorse n’avait cherché à faire pression ni sur les magistrats ni sur les témoins. Dont acte.
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