Non-lieu pour le Monsieur Afrique de Chirac dans l’affaire Borrel

Michel de Bonnecorse, dont les confidences à Jeune Afrique ont coûté un procès intenté par la veuve du juge Borrel et le Syndicat de la magistrature, a obtenu un non-lieu.

Michel de Bonnecorse, ancien Monsieur Afrique de Jacques Chirac. © D.R.

Michel de Bonnecorse, ancien Monsieur Afrique de Jacques Chirac. © D.R.

FRANCOIS-SOUDAN_2024

Publié le 15 septembre 2010 Lecture : 0 minute.

Poursuivi par Françoise Borrel (la veuve du juge mort à Djibouti en 1995) et par le Syndicat de la magistrature pour des propos tenus à Jeune Afrique, en mai 2007, dans lesquels il mettait en doute la thèse de l’assassinat, Michel de Bonnecorse, l’ancien Monsieur Afrique de Jacques Chirac (aujourd’hui conseiller de Jacques Saadé à CMA-CGM), a bénéficié d’un non-lieu discret au cœur du mois d’août.

Le juge d’instruction du tribunal de grande instance de Paris a estimé qu’en se confiant à J.A., Bonnecorse n’avait cherché à faire pression ni sur les magistrats ni sur les témoins. Dont acte.

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