Romuald Hazoumé, le maître d’école
Entre le Centre Pompidou (2005), le musée du Quai Branly (2007) à Paris et la Grande-Bretagne, Romuald Hazoumé s’est imposé en représentant de l’art béninois et africain.
Bénin : Objectif 2011
Il est à l’art béninois ce qu’Angélique Kidjo est à la musique : un ambassadeur. Romuald Hazoumé est né, vit et travaille à Porto-Novo et expose dans le monde entier.
Ses « masques-bidons » – à la fois héritage de la culture yorouba et évocation d’une réalité contemporaine, celle des bidons d’essence – ont fait sa renommée depuis une bonne vingtaine d’années et atteignent des sommets dans les galeries d’art.
À 48 ans, il est considéré comme le maître de ce que l’on peut désormais appeler l’école béninoise, celle de toute la génération de plasticiens – Zinkpè, Adéagbo, Tchif, Aston… – qui marchent aujourd’hui dans ses pas.
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