Trois questions à Nadia Gara
Nadia Gara est architecte de la Société immobilière et de participations (Simpar) à Tunis.
Le charme discret de la Tunisie
Jeune Afrique : Quelles sont les prestations les plus demandées ?
Nadia Gara : Les étrangers – les Français par exemple – privilégient les villégiatures de bord de mer, pour la saison estivale. Les Tunisiens résidant à l’étranger recherchent plutôt un pied-à-terre dans la région d’où ils sont originaires.
Quelle évolution du marché observez-vous ?
Le secteur est en plein développement depuis deux ou trois ans. On le voit lors d’événements tels que le Salon de l’immobilier tunisien à Paris (Sitap), où il y a une affluence croissante et une forte demande.
La procédure pour un acheteur étranger n’est-elle pas complexe ?
Avant, il y avait beaucoup de paperasserie, mais les démarches sont en cours de simplification. Le Sitap, par exemple, est là pour tout mettre à disposition de l’acheteur : de l’architecte jusqu’à la banque pour obtenir un financement.
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Le charme discret de la Tunisie
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