Ca va mieux pour la SIR
Endettée et lâchée par les banques, obligée d’arrêter ses activités durant une semaine en février, la Société ivoirienne de raffinage (SIR) a obtenu un soutien de l’État, qui a épongé une partie de ses dettes, mais les banques tardent à suivre. Les délais de paiement du raffineur sont passés de 120 à 88 jours (deux à trois cargaisons de pétrole à 80 millions de dollars la cargaison). La SIR veut porter ses marges à 5 dollars le baril, contre 3 dollars aujourd’hui, afin de ramener ses délais à 60 jours et rassurer ainsi les banques.
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