La 4G, le téléphone à l’heure de l’internet mobile
la semaine dernière à Barcelone, la 4G était au menu du Mobile World Congress. Cette technologie dite de quatrième génération peut offrir des débits de 100 mégabits à 1 gigabit par seconde selon que le terminal est mobile ou nomade. Idéal pour le transport de données, dont la demande explose. Mais la 4G est encore virtuelle. On la confond avec la LTE (Long Term Evolution), qui correspond en fait à de la 3,9G et commence à peine à être déployée. Les opérateurs occidentaux qui s’y mettent y sont contraints par la saturation de leurs réseaux 3G due notamment à l’usage croissant des téléphones multimédias type iPhone. En Afrique aussi, la technologie LTE, et surtout sa concurrente, le wimax, progressent. Notamment là où, à force de retards dans le déploiement des réseaux, on passe directement à ces technologies qui empruntent les fréquences radio. À l’instar du Cameroun qui, dépourvu de 3G, s’est lancé dans le wimax.
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