Investissements : l’Algérie, quand même…
Malgré la limitation des importations et de multiples affaires de corruption, l’Algérie attire toujours les investisseurs.
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Malgré un climat des affaires « particulier » (patriotisme économique exacerbé, limitation des importations, mise en place de politiques administrative, financière et fiscale dissuasives, multiples affaires de corruption), l’Algérie demeure une destination prisée des investisseurs étrangers. Fin janvier, une délégation de chefs d’entreprise britanniques (HSBC, General Dynamics UK, Thales UK, etc.) était à Alger afin d’accroître leur présence dans le pays.
Déjà présents dans le BTP (construction de villes nouvelles et d’usines), les Sud-Coréens s’intéressent pour leur part au projet d’extension du port de , piloté par Dubai Ports World. Enfin, courant février, quelque soixante-dix patrons turcs (construction, télécoms, transport, tourisme, énergie) se lanceront à leur tour à la conquête du marché algérien.
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