Redéploiement sécuritaire dans le Sud de l’Algérie
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Les récentes prises d’otages au Mali et en Mauritanie, la multiplication des saisies de drogue (près de 30 tonnes au cours des dix premiers mois de l’année) et l’arrivée massive de migrants clandestins subsahariens en route pour l’Europe ont contraint l’état-major de l’armée algérienne à renforcer son dispositif sécuritaire dans le Sud. À partir du 1er janvier, plus de trois mille hommes supplémentaires seront affectés au Groupement des gardes-frontières (GGF), sur les frontières avec le Niger (700 km), le Mali (1 200 km) et la Mauritanie (500 km). Ils seront appuyés par des drones et des hélicoptères de combat. Les contrebandiers et les passeurs de clandestins – sans parler des salafistes – sont en effet le plus souvent équipés d’armes de guerre.
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