Un think-tank 100 % africain
Rassemblée pour sa première réunion officielle à Tunis, fin novembre, la Coalition pour le dialogue sur l’Afrique (Coda) se veut un organisme indépendant pour la promotion du développement africain. Un think-tank où les experts et les intellectuels africains (diaspora comprise) discuteront librement. Il est doté d’un conseil d’administration d’une douzaine de personnes, où les représentants du secteur privé et de la société civile africaine côtoient les dirigeants de la BAD, de l’Union africaine et de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA). Le président de la Coda doit transmettre les recommandations du forum aux autorités africaines (chefs d’État et ministres). Lancée en mars 2009, la Coda a été créée après la disparition en 2007 de la Coalition mondiale pour l’Afrique (soutenue par la Banque mondiale) et de la Grande Table (soutenue par la CEA et l’OCDE).
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