Hysacam, un modèle pour la propreté urbaine

Publié le 1 décembre 2009 Lecture : 1 minute.

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Quand l’Afrique réinvente ses villes

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Spécialisée dans la gestion des déchets ménagers, la société camerounaise Hysacam fête cette année ses quarante ans de bons et loyaux services aux collectivités locales. Forte d’un chiffre d’affaires de 20 milliards de F CFA (30,5 millions d’euros) et d’un effectif de 4 000 salariés, elle est la référence en son domaine au Cameroun et, désormais, au-delà. « Nous récupérons 3 000 tonnes d’ordures par jour dans une dizaine de ­villes, dont 1 200 tonnes à Douala et 1 100 à Yaoundé », indique Suzanne Kala-Lobè, porte-parole d’Hysacam. Depuis un an, l’entreprise exporte son savoir-faire. Elle a décroché le marché du ramassage et du traitement des ordures de Niamey : la capitale nigérienne bénéficie désormais d’un système de collecte moderne, avec des bennes à compaction qui récupèrent 500 tonnes de déchets par jour. Depuis août dernier, Hysacam soulage aussi quotidiennement la capitale tchadienne, N’Djamena, du même volume d’ordures. 

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