Haut les mains !
Saint-Denis, Stade de France, le 18 novembre vers 23 heures. Thierry Henry, le capitaine de l’équipe de France, contrôle le ballon de la main avant de servir William Gallas, auteur du but qui qualifie les Bleus pour le Mondial sud-africain, en juin prochain. « Honte », « tricherie », « hold-up », « injustice » : partout dans le monde la sélection française en prend pour son grade. Les politiques s’en mêlent, la « mimine » devient affaire d’État. Henry a beau présenter ses excuses, rien n’y fait.
Après les graves incidents qui ont émaillé le match Algérie-Égypte, le football, dont l’histoire est jonchée d’erreurs d’arbitrage célèbres, a mal à la tête. Et besoin d’un sacré coup de main…
