Chacun son poulain
Si la France et les États-Unis n’ont pas été directement impliqués dans les négociations intermalgaches d’Addis-Abeba, ils n’en ont pas moins joué, en coulisses, un rôle important. La première a dépêché sur place deux émissaires parmi lesquels Rémi Maréchaux, le conseiller technique de Nicolas Sarkozy pour l’Afrique subsaharienne. Les seconds ont envoyé Philip Carter, un haut fonctionnaire du département des Affaires africaines au secrétariat d’État. « Chacun a eu des contacts avec les uns et les autres », confie l’un des protagonistes. Carter a plus spécialement discuté avec Marc Ravalomanana ; et Maréchaux avec Andry Rajoelina.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Au Mali, le Premier ministre Choguel Maïga limogé après ses propos critiques contr...
- CAF : entre Patrice Motsepe et New World TV, un bras de fer à plusieurs millions d...
- Lutte antiterroriste en Côte d’Ivoire : avec qui Alassane Ouattara a-t-il passé de...
- Au Nigeria, la famille du tycoon Mohammed Indimi se déchire pour quelques centaine...
- Sexe, pouvoir et vidéos : de quoi l’affaire Baltasar est-elle le nom ?