Le dossier du Premier ministre Ramgoolam
« Maurice est l’un des six pays africains choisis par le gouvernement chinois pour accueillir l’une de ces zones », s’enorgueillit le BOI – les autres sont la Zambie, le Nigeria, l’Égypte, l’Éthiopie et l’Algérie. « La stabilité politique, des infrastructures modernes, un régime fiscal favorable, et surtout l’intégration de Maurice à la SADC et au Comesa, deux marchés que vise la Chine, ainsi que nos relations commerciales avec l’Europe et les États-Unis, ont joué en notre faveur », précise un fonctionnaire du ministère des Finances. Pourtant, la JinFei a failli ne jamais voir le jour. Si l’île a été choisie pour accueillir ce nouveau type de coopération dite « gagnant-gagnant », c’est grâce à son Premier ministre, Navin Ramgoolam, affirme-t-on au BOI. « Il s’est personnellement saisi du dossier et y a mis tout son poids », confirme notre fonctionnaire.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Au Mali, le Premier ministre Choguel Maïga limogé après ses propos critiques contr...
- CAF : entre Patrice Motsepe et New World TV, un bras de fer à plusieurs millions d...
- Lutte antiterroriste en Côte d’Ivoire : avec qui Alassane Ouattara a-t-il passé de...
- Au Nigeria, la famille du tycoon Mohammed Indimi se déchire pour quelques centaine...
- Sexe, pouvoir et vidéos : de quoi l’affaire Baltasar est-elle le nom ?