Développer les infrastructures

Publié le 17 novembre 2009 Lecture : 1 minute.

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Les 12 travaux d’Ali

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Là aussi, certains chiffres traduisent une situation qui n’est pas conforme au potentiel gabonais. Et si on devait n’en retenir qu’un, ce serait celui-ci : 900 km de routes ! Quant aux difficultés de la Comilog pour acheminer par voie ferroviaire, via le Transgabonais, sa production de manganèse de Moanda (dans le Haut-Ogooué) vers le port d’Owendo (près de Libreville), elles constituent un frein au développement de ses activités.

Le barrage de Grand Poubara, le port en eau profonde de Santa Clara, le prochain aéroport international de Libreville, la zone franche de l’île Mandji à Port-Gentil, les nouveaux chantiers lancés à l’occasion de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2012… Ce sont les dossiers du nouveau président, qui va devoir, en premier lieu, boucler les tours de table et, en urgence, rattraper le retard accumulé dans la construction des stades promis pour la CAN. Le voisin équato-guinéen est, lui, dans les temps.

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« Les financements reposent sur la confiance. Si les bailleurs de fonds et les institutions financières constatent qu’il y a de la rigueur, du sérieux et de la compétence à Libreville, il n’y a pas de raisons que ces dossiers ne soient pas ficelés », estime Henri-Claude Oyima, administrateur–directeur général de BGFI Bank, qui en appelle à une plus forte mobilisation des financements locaux, n’oubliant pas d’ajouter que son établissement dispose de 128 milliards de F CFA en fonds propres.

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