Ambitions casablancaises
Le développement des grands chantiers au Maroc doit davantage passer par la Bourse de Casablanca. Tel est en tout cas le souhait de Karim Hajji, son directeur général, qui souhaite accueillir soixante-quinze nouvelles sociétés et faire passer le nombre des investisseurs de 150 000 à 230 000 d’ici à 2015. La capitalisation boursière s’élève actuellement à 68 milliards de dollars. Mais la Bourse ne participe qu’à hauteur de 5 % aux investissements nationaux. Pour attirer les opérateurs, Hajji rappelle que la Bourse casablancaise est l’une des plus rentables au monde, avec un rendement annuel (hors dividendes) de 15 %.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Au Niger, Samuel Eto’o reçu par le général Tiani
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Au Burkina Faso, au moins une centaine de soldats tués dans une nouvelle embuscade
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise
- Vera Songwe : « Les obligations souveraines africaines, c’est comme une Lamborghin...