Tata, discret et incontournable

Publié le 16 novembre 2009 Lecture : 1 minute.

Issu du dossier

Telecoms : agitation sur toutes les lignes

Sommaire

Le groupe Tata est passé à l’offensive dans les télécoms africaines, via sa filiale TCL. Sa stratégie ? Se positionner sur le marché global des entreprises et sur celui des grossistes et s’imposer dans le segment de l’Internet haut débit. Il détient déjà 56 % de Neotel en Afrique du Sud, sa principale implantation. « Nous avons été les premiers à offrir une alternative dans le fixe », indique Philippe Duguet, son directeur « strategic business development ». Et « lorsqu’on n’a pas de licence, on procède par partenariats, comme en Égypte avec Egypt Telecom et au Maroc avec Wana », ajoute le dirigeant. Au Kenya, TCL vient d’installer un point de présence IP d’accès au réseau avec Access Kenya, qui sera bientôt testé. Surtout, l’opérateur s’est investi dans les projets de câbles sous-marins Seacom et Wacs. « On n’est qu’au début de notre expansion », précise Philippe Duguet.

La Matinale.

Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.

Image

Dans le même dossier

Un appétit sans fin des Etats