Calendrier Pirelli : Terry et les naïades
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On connaît le principe trilogique du calendrier que Pirelli, la marque italienne de pneumatiques, publie depuis plus de dix ans : des filles, des filles, des filles. Très belles, bien sûr, et très dénudées. L’application dudit principe requiert un décor exotique (au moins voit-on du pays), des hardes de figurants à poils et à plumes, sorte d’arche de Noé glamour, et divers accessoires suggestifs, banane ou tuyau d’arrosage. Il faut bien occuper ces messieurs, non ?
Mais ne vous y trompez pas : le calendrier Pirelli serait déplacé dans la cabine de quelque chauffeur routier. Ses concepteurs la jouent chic, arty, décalé. L’édition 2010 a ainsi été confiée au photographe Terry Richardson, qui n’est pas n’importe qui. Bob, son père, ne fut-il pas le compère d’Helmut Newton et de Richard Avedon aux temps glorieux du Swinging London et du Flower Power ?
Au Brésil, en mai, le sympathique Terry a donc shooté une pléiade de naïades en des postures variées. Facétieux, il n’a pas hésité à se mettre en scène, les bras tatoués de l’épaule au poignet, au côté d’Eniko ou d’Abbey Lee, de Miranda ou de Daisy. Allez, soyez francs : qui d’entre vous le lui reprochera ?
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