… et soutient Tandja

Christophe Boisbouvier

Publié le 4 novembre 2009 Lecture : 1 minute.

Le 29 octobre, à Abuja, lors de la dernière réunion à huis clos du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, Abdelkader Messahel, le ministre algérien des Affaires maghrébines et africaines, a plaidé en faveur de Mamadou Tandja, le chef de l’État nigérien. « Son pays est fragile. Si des sanctions sont mises en œuvre, une grave crise peut en résulter », a-t-il déclaré. L’hôte de la réunion, le président nigérian Umaru Yar’Adua, lui a alors coupé la parole : « Si le Niger a été suspendu de la Cedeao, c’est pour une question de principe et en raison d’un engagement que le Niger a pris auprès de notre communauté. » Et dire qu’on présentait Yar’Adua comme un personnage effacé !

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