Les grands classiques
Bande dessinée: oublier Tintin
Coke en stock, d’Hergé (Casterman)
Pourquoi s’en prendre encore et toujours à Tintin au Congo alors qu’Hergé, conscient de son « erreur », a fait amende honorable avec Coke en stock (1958), sur le démantèlement d’une filière esclavagiste ?
Tembo Tabou, de Franquin (Dupuis)
Spirou, Fantasio, l’écureuil Spip et le marsupilami se retrouvent dans la jungle africaine. Ils recherchent un écrivain américain, Thirstywell. Et tombent sur de mystérieux éléphants rouges, puis sur des Pygmées menacés par des bandits qui en veulent à leur or… Franquin, Roba et Greg à leur meilleur pour cette 24e Aventure de Spirou et Fantasio, parue en 1974. Incontournable.
Les Éthiopiques, d’Hugo Pratt (Casterman)
Enfant, Hugo Pratt a vécu en Éthiopie, où son père était militaire au sein des troupes italiennes. Paru au début des années 1970, cet album rassemble quatre aventures du célèbre Corto Maltese, qui se déroulent à la fin de la Première Guerre mondiale, entre Yémen, Somalie et Tanzanie.
Déogratias, de Jean-Philippe Stassen (Dupuis)
C’est la bande dessinée sur le génocide rwandais. Parue en 2000, elle a obtenu le prix René Goscinny du meilleur scénario. L’auteur est un familier du continent, auquel il a consacré d’autres magnifiques albums, Le Bar du vieux Français et Les Enfants.
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Bande dessinée: oublier Tintin
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