Politique et graphologie
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La chambre d’instruction de la cour d’appel de Paris examinera en appel, le 20 octobre, la plainte pour « faux et usage de faux, escroquerie et abus de faiblesse » déposée par Paulin Makita contre Pascal Gamasa et l’ancien ministre congolais Benoît Koukebene. Le plaignant, qui fut secrétaire général intérimaire de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (Upads), le parti de Pascal Lissouba, estime que la signature figurant sur un document de 2006 nommant Gamasa à la présidence de la Commission nationale préparatoire du congrès de l’Upads n’est pas celle de l’ancien président congolais. Débouté en première instance, Makita revient à la charge avec des examens comparés (réalisés par deux experts judiciaires) de la vraie signature de Lissouba et de celle figurant sur le document incriminé. Conclusion : « Elles sont superposables, donc absolument identiques. » Il s’agirait donc d’une reproduction frauduleuse. Gamasa est actuellement l’un des vice-présidents de l’Upads.
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