Un complice à la barre
Ancien homme de confiance de Cheb Mami, Abdelkader Lallali devrait être présent au procès de la star algérienne déchue, le 20 octobre, devant le tribunal correctionnel de Bobigny, dans la proche banlieue parisienne. Lallali, qui est lui aussi de nationalité algérienne, était en fuite lors du premier procès, en juillet, à l’issue duquel Mami, reconnu coupable de tentative d’avortement forcé sur la personne de son ex-compagne, une photographe de presse parisienne, a été condamné à cinq ans de prison ferme. Présenté par l’accusation comme l’un des principaux auteurs du délit, commis à Alger en 2005, Lallali avait été condamné par défaut à six ans d’emprisonnement. Mami, qui n’a pas fait appel de sa condamnation, comparaîtra cette fois en tant que témoin.
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