Cabinet
Dans le bidonville Harry Gwala, non loin de la capitale sud-africaine, il n’y a pas d’accès à l’eau courante. En attendant mieux, la municipalité a installé des toilettes chimiques aux abords du township. Colère des résidents. Femmes et hommes non seulement utilisent les mêmes sièges mais en plus doivent partager un WC pour 10 foyers, soit un peu plus de 40 personnes pour chaque lieu d’aisances. Trop peu, se plaignent les administrés. Largement assez, réplique la mairie. C’est finalement la Cour constitutionnelle qui va trancher. Le métier de juge, même dans les plus prestigieuses institutions, est parfois bien ingrat.
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