Cabinet

Publié le 21 septembre 2009 Lecture : 0 minute.

Dans le bidonville Harry Gwala, non loin de la capitale sud-­africaine, il n’y a pas d’accès à l’eau courante. En attendant mieux, la municipalité a installé des toilettes chimiques aux abords du township. Colère des résidents. Femmes et hommes non seulement utilisent les ­mêmes sièges mais en plus doivent partager un WC pour 10 foyers, soit un peu plus de 40 personnes pour chaque lieu d’aisances. Trop peu, se ­plaignent les administrés. Largement assez, réplique la mairie. C’est finalement la Cour constitutionnelle qui va trancher. Le métier de juge, même dans les plus prestigieuses institutions, est parfois bien ingrat.

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