Mountazar superstar
Mountazar Zaïdi n’a rien perdu de sa témérité. À peine libéré, le 15 septembre, le journaliste qui, en décembre 2008, avait lancé ses chaussures sur George W. Bush venu à Bagdad faire ses adieux aux Irakiens, a dénoncé les sévices subis en prison et exigé les excuses du chef du gouvernement.
Outre la renommée, il a été comblé de cadeaux (un appartement, une voiture, un cheval en or massif…) et des familles se bousculent pour lui donner leur fille richement dotée. Mountazar, dont le nom signifie « celui qu’on attend » – le Messie, quoi ! –, a inventé un mode de contestation efficace. À chaud, il a été imité çà et là. Fera-t-il encore des émules ?
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