L’Algérie : un marché convoité mais compliqué
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Un texte de loi pour la franchise est dit en préparation depuis la fin de 2006. Trois ans plus tard, on l’attend toujours, tandis que plusieurs enseignes se sont déjà implantées dans le pays. Et que certaines semblent plier bagages. La franchise en Algérie bute sur trois obstacles majeurs : la non-reconnaissance par le système bancaire du transfert de royalties et des droits d’entrée ; le montant élevé des taxes douanières sur l’importation des intrants ; et le foncier, rare et cher. L’importance du marché algérien, s’il suscite les convoitises poussant certaines enseignes à prendre le risque de s’y lancer malgré tout, s’avère complexe. « Toutes les grandes enseignes qui y sont implantées rencontrent des difficultés », confie ainsi un franchiseur qui attend le feu vert législatif avant de sauter le pas.
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