BAD : susceptibilité marocaine
La Banque africaine de développement (BAD) a cru bien faire en désignant d’office le Maroc comme membre du Conseil de gouvernance de la nouvelle Facilité africaine de soutien juridique, créée le 30 juin à Tunis pour aider les États africains à se défendre face aux fonds vautours (voir pp. 69-71). Mal lui en a pris. Le délégué marocain, représentant le ministère de l’Économie et des Finances, a rejeté cette initiative, estimant que la BAD aurait dû le consulter avant d’inscrire le nom de son pays sur le projet de résolution. La Libye a aussitôt accepté d’être le représentant de l’Afrique du Nord dans ce Conseil de douze membres.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Aérien : pourquoi se déplacer en Afrique coûte si cher ?
- La galaxie de Célestin Tawamba, patron des patrons camerounais et nouveau roi des ...
- Au Bénin, arrestation de l’ancien directeur de la police
- Sac Vuitton et liasses de billets : en Côte d’Ivoire, des influenceurs soupçonnés ...
- L’Algérie doit-elle avoir peur de Marco Rubio, le nouveau secrétaire d’État améric...