Les connexions des pirates de l’Airbus
L’enquête sur le détournement de l’Airbus d’Air France en décembre 1994 n’est pas close. Il est désormais établi que l’un des quatre pirates du commando avait de solides connexions avec l’ambassade de France à Alger. Et pour cause, son frère était l’un des chauffeurs de cette ambassade ultrasécurisée, surnommée « le parc Astérix » par les Algérois. Le détournement du vol Alger-Paris par le commando réclamant la libération des dirigeants du Front islamique du salut (FIS) avait conduit l’appareil et ses 273 passagers sur l’aéroport de Marseille. Quatre otages avaient été exécutés par le commando, lui-même supprimé lors d’un assaut musclé du GIGN.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus – Politique
- Projet hôtelier au sud de Tanger : DSK réagit
- Burkina Faso : le lieutenant-colonel Yves Didier Bamouni toujours porté disparu
- Au Sénégal, l’affaire de la disparition mystérieuse de deux sous-officiers ressurgit
- Damiba à Ibrahim Traoré : « Je ne peux pas garder le silence face aux exactions contre les civils »
- En Côte d’Ivoire, le malaise à la RTI, côté coulisses