L’espoir algérien
Le septième art du moyen-orient a été très présent cette année à Cannes. Notamment, à travers le cinéma israélien, qui confirme son dynamisme actuel (Jaffa, Ajami et Eyes Wide Open). Mais aussi avec un film iranien sur l’univers underground de Téhéran (Les Chats persans de Bahman Ghobadi) et deux longs-métrages palestiniens, Le Temps qu’il reste de Elia Suleiman et Amreeka (Amerrika) de Cherien Dabis.
Quant à l’Afrique, toujours très peu représentée, elle a pourtant occupé à deux reprises le devant de la scène, avec le retour réussi de Souleymane Cissé (Min yé…) et avec l’obtention par Nassim Amaouche, d’origine algérienne, d’un grand prix de la Semaine de la critique très filmpour son premier film, Adieu Gary. Espérons que cela augure d’une carrière aussi prestigieuse que celle d’anciens lauréats désormais mondialement connus comme le Mexicain Iñárritu ou le Français Gaspar Noé.
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