Laurent Esso
67 ans, ministre d’état, secrétaire général de la Présidence
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop/medias/default.png)
Les 50 qui font le Cameroun
Réputé honnête et sérieux, il fait partie du cercle restreint des hommes auxquels le président Paul Biya fait confiance. Depuis que ce dernier l’a relevé de son poste de magistrat pour le nommer chancelier de l’université de Yaoundé, le très prudent et très discret Laurent Esso n’a jamais connu de disgrâce. Après avoir été nommé secrétaire général adjoint de la présidence, en 1988, puis directeur du cabinet civil en 1989, il occupera, à partir de 1996, les ministères de la Justice, de la Santé, de la Défense et des Affaires étrangères. En septembre 2006, il devient secrétaire général de la présidence. Autant dire que ce fidèle des fidèles, un Sawa né à Douala, en connaît des secrets ! Mais il sait se taire. Et, en bon commis de l’État, il n’agit jamais sans l’aval du chef.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop/medias/default.png)
Les 50 qui font le Cameroun
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »