La succession d’Elalamy est ouverte

Publié le 23 février 2009 Lecture : 1 minute.

Élu le 30 juin 2006 à la tête de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), Moulay Hafid Elalamy ne briguera pas un second mandat de trois ans. Le patron des patrons, qui se présente avec humour comme le « Laurence Parisot marocain », préfère transmettre le relais, contrairement à la dirigeante du Medef, l’organisation patronale française. « J’ai donné mon maximum et je ne veux pas faire le mandat de trop. Il faut savoir passer la main », a-t-il confié à Jeune Afrique. Les statuts de la CGEM lui permettent pourtant de se maintenir à la tête de l’organisation : le président de la Confédération est rééligible, mais « pas pour plus de deux mandats consécutifs ». Son successeur sera désigné à la fin de juin lors d’une assemblée générale de l’organisation patronale.

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