Teodoro Obiang Nguema
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Le suspense ne devrait guère peser sur la présidentielle de 2009. L’actuel chef de l’État et président du Parti démocratique de Guinée équatoriale (PDGE) devrait livrer un combat pour la forme, d’autant que son parti détient 99 sièges sur 100 à l’Assemblée nationale. L’année 2009 marquera également le trentième anniversaire du « coup de la liberté », qui l’avait porté au pouvoir après la mort, le 3 août 1979, de son oncle, Francisco Macias Nguema. Si l’ouverture démocratique initiée en novembre 1991 n’a toujours pas pleinement porté ses fruits, Obiang Nguema peut compter sur son bilan économique. Avec 23 % de croissance en 2008 et des investissements financés grâce à la manne pétrolière, la santé de l’ancienne colonie espagnole tranche nettement avec celle des autres États africains.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »