Question de méthode
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Sur 6 085 entreprises africaines répertoriées dans nos bases de données, 5 387 ont reçu cette année un questionnaire détaillé. Après relances et vérifications, nous établissons un classement comportant les données de 1 140 sociétés. De quoi réaliser le Top 500, mais aussi les classements par pays ou par secteur incluant des sociétés dont le chiffre d’affaires ne leur permet pas de figurer dans le palmarès général.
Pour préserver les aspects pratiques de ces tableaux et permettre les comparaisons, nous appliquons à toutes les données les mêmes règles.
1) Tous les éléments financiers ont une source clairement définie et, d’une manière générale, sont ceux qui nous ont été communiqués par les entreprises. Ils portent sur l’exercice 2007 ou, comme c’est parfois le cas, sur des exercices annuels 2007-2008.
2) S’ils sont exprimés en monnaie locale, les chiffres sont convertis par nos soins en dollars, au taux de change du 31/12/07.
3. Nous intégrons toutes les entreprises qui nous répondent tant qu’elles sont juridiquement établies dans au moins un des 52 pays du continent (le Zimbabwe est écarté). Ceci explique qu’un holding et ses filiales puissent figurer dans le palmarès.
4) Lorsque nous ne parvenons pas à obtenir de données actualisées, nous gardons celles du classement précédent (cas signalé par un astérisque). Notons qu’après deux ans de silence, la société disparaît du classement.
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