Présence historique de France Télécom
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Orange a fêté ses dix ans en Afrique. Mais pas France Télécom, dont l’histoire africaine est beaucoup plus ancienne. « Le groupe est présent depuis les indépendances, rappelle Marc Rennard, directeur exécutif de la zone Afrique et président du conseil d’administration de la Sonatel. Nous avons accompagné les pays africains dès les années 1960, pour leurs transmissions à l’international notamment. » C’était le temps de sa filiale FCR (ex-France câble radio), à l’ampleur sans commune mesure avec l’actuel mastodonte Orange. En 1996, la part africaine des participations de FCR s’élevait à 120 millions de francs, avant d’atteindre les 2 milliards et 3 % du total de ses abonnés en 1999. Cette année-là, France Télécom était déjà présente, dans le fixe et le mobile, dans six pays d’Afrique francophone : la Côte d’Ivoire, le Sénégal, Madagascar, la République centrafricaine, Djibouti et le Cameroun. En 2007, l’Afrique pèse pour 2,5 milliards d’euros dans le chiffre d’affaires d’Orange, grâce à ses quatorze filiales sur le continent, auxquelles s’est ajoutée Orange Uganda à la fin de l’année 2008.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise