Question de méthode
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Sur 10 000 entreprises que nous avons répertoriées, 6 350 ont reçu un questionnaire détaillé après un tri préliminaire. Après relances et vérifications, nous établissons un classement comportant les données auditées pour l’exercice 2006 pour 951 sociétés. De quoi réaliser des classements par pays incluant des établissements dont le chiffre d’affaires ne leur permet pas de figurer dans le palmarès général. Pour préserver les aspects pratiques de ces tableaux et permettre les comparaisons, nous appliquons plusieurs règles. 1) S’ils sont exprimés en monnaie locale, les éléments transmis par les entreprises sont convertis en dollars, en appliquant le taux de change au 31 décembre 2006. 2) Tous les éléments financiers ont une source clairement définie et, d’une manière générale, sont ceux qui nous ont été communiqués par les entreprises. Ils portent sur l’exercice 2006 ou, comme c’est parfois le cas, sur des exercices annuels 2006-2007. 3) Nous intégrons toutes les entreprises qui nous répondent, ce qui explique qu’une holding et ses filiales figurent dans le classement, du moment que l’une et les autres sont juridiquement établies dans au moins un des 53 pays du continent. Les groupes qui ne détaillent pas leurs activités ne sont cités qu’une seule fois. 4) Lorsque nous ne parvenons pas à obtenir des données actualisées, nous gardons celles du classement précédent. Ces cas sont signalés par un astérisque dans les tableaux. Notons qu’après deux ans de silence, la société disparaît du classement.
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