Simon Mann pourrait être gracié
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2008/12/12/0mann4601.jpg)
Même si la mesure n’est pas encore à l’ordre du jour, le mercenaire britannique Simon Mann, condamné en juillet dernier à trente-quatre ans et quatre mois d’emprisonnement pour sa participation au « Wonga Coup » qui devait renverser le régime équato-guinéen en 2004, pourrait bénéficier d’une remise de peine, voire d’une grâce présidentielle. Le chef de l’État, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, ne serait pas opposé à une telle décision. Mais le préalable à la libération de l’ancien membre des Forces spéciales britanniques (SAS), qui purge sa peine à la Black Beach Prison de Malabo en compagnie du Sud-Africain Nick du Toit, autre acteur de la conspiration, serait l’arrestation et/ou l’extradition d’Elie Khalil. Ce courtier libano-britannique proche de l’opposant Severo Moto et qui vit entre Londres et Beyrouth est considéré comme le principal instigateur du coup par les autorités équato-guinéennes.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Côte d’Ivoire : le vice-président Tiémoko Meyliet Koné, des amitiés au cœur du pouvoir
- Alice Riouall, la Burkinabè qui exporte ses mangues séchées en Europe
- Au Kenya, après Ruto, c’est au tour des gouverneurs de rendre des comptes
- Dans l’est de la RDC, la Monusco partie pour rester ?
- Requins à Agadir, orques à Gibraltar, le littoral marocain est-il vraiment envahi ?