Morosité chez l’opérateur historique Camtel
Télécoms, les bons comptes des opérateurs africains
La Camerounaise des télécommunications (Camtel) semble être la grande perdante de l’explosion de la téléphonie au Cameroun. Lors de sa création, en 1998, d’une fusion de l’ancienne société des télécommunications du Cameroun (Intelcam) avec la Direction des télécommunications du ministère des Postes et Télécommunications, mission lui avait été assignée de redresser une activité en déroute financière, technique et managériale. Dix ans plus tard, rien de bien nouveau : la société a été paralysée mi-octobre par une grève des personnels temporaires qui traduisait sa fragilité générale. Camtel compte à peine 100 000 lignes de téléphone fixe (une pénétration de 0,5 %), et sa tentative de s’imposer sur le créneau du mobile est un échec : à peine 50 000 abonnés à ce jour.
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