Pékin double la mise
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Le rôle de la Chine (avec la Malaisie et, plus tard, l’Inde) a été essentiel dans le développement de l’industrie pétrolière nationale. Si bien que l’or noir soudanais représente environ 10 % des importations chinoises en hydrocarbures. Ce qui constitue un atout de poids pour l’empire du Milieu en matière de sécurité énergétique. Aux côtés de la compagnie pétrolière nationale CNPC, acteur central au sein du consortium CGNPO qui exploite les deux grands gisements, va désormais opérer une seconde firme chinoise, la Sinopec, de retour au Soudan après s’en être retirée en 2000 : elle craignait de voir le groupe auquel elle appartient tomber sous le coup de sanctions américaines lors de son entrée en Bourse sur les places de New York et de Hong Kong.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise