L’impact du tout-pétrole
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Etroitement dépendante de la conjoncture pétrolière mondiale, l’Algérie en touche aujourd’hui les dividendes. La hausse continue du prix du baril au cours des cinq dernières années lui a permis d’engranger des bénéfices mirobolants grâce à ses exportations d’hydrocarbures. Avec des réserves de change estimées à plus de 70 milliards de dollars au 31 août dernier, le pays a pu procéder à l’apurement de ses arriérés. Ainsi, la dette publique extérieure va être ramenée de 16,3 milliards de dollars à moins de 5 milliards cette année après le remboursement anticipé de la dette vis-à-vis des créanciers du Club de Paris et du Club de Londres notamment.
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