A la page

Publié le 29 octobre 2006 Lecture : 1 minute.

– Avec la parution, le 9 novembre, de Solitude ma mère, les éditions Joëlle Losfeld inaugurent la réédition des uvres de Taos Amrouche (1913-1976), la première romancière algérienne de langue française.

– Après avoir reçu le 24 septembre à Bucarest le prix des Cinq continents de la Francophonie, la Mauricienne Ananda Devi s’est vu attribuer le 15 octobre à Paris le prix RFO du livre pour Ève de ses décombres (Gallimard).

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– L’éditeur français Jean-Claude Lattès a été le premier, en 1999, à publier les mémoires de Muhammad Yunus. Sitôt connue l’attribution du Nobel de la paix au pionnier du microcrédit, Vers un monde sans pauvreté a été réimprimé à 10 000 exemplaires.

– Autre livre remis sur le devant de l’actualité, Le Parfum, de l’Allemand Patrick Süskind. Quelque 12 000 exemplaires en avaient été vendus par Le Livre de poche une semaine après la sortie en France du film adapté du roman.

– Plus de vingt ans après sa parution en France (Gallimard, 1984), L’Insoutenable Légèreté de l’être, le chef-d’uvre de Milan Kundera, est enfin en voie d’être publié en République tchèque, le pays natal de l’auteur.

– Fayard réédite L’État en Afrique. La politique du ventre, du chercheur français Jean-François Bayart. Publiée en 1989, cette analyse magistrale des systèmes politiques africains contemporains a été enrichie d’une longue préface de l’auteur mettant en perspective les grandes tendances des années 1990.

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– L’ancien ministre algérien Ahmed Taleb Ibrahimi a fait don de sa collection personnelle à la Bibliothèque nationale de son pays : 10 000 ouvrages en arabe, anglais et français couvrant de vastes domaines du savoir. Un espace spécial a été aménagé pour accueillir ce fonds exceptionnel.

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