Abdou Diouf en piste
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Où, plus qu’aux Jeux Olympiques, « sauvegarder la place de la langue française et développer sa présence », ce qui est la mission même de l’Organisation internationale de la francophonie ? Dès novembre 2007, une convention signée par Jean-Pierre Raffarin – le « grand témoin de la francophonie » pour l’édition chinoise des Jeux – en présence des présidents Hu Jintao et Sarkozy avait préparé le terrain en définissant les modalités de coopération entre les pays membres de la Francophonie et le Cojob (Commission d’organisation des jeux Olympiques de Beijing). Histoire d’éviter que se reproduisent des incidents similaires à ceux qu’Hervé Bourges avait dénoncés en 2004 dans son rapport d’Athènes.
Mais c’est le secrétaire général de l’OIF en personne, le président Abdou Diouf, qui portera à partir du 8 août le flambeau du français – langue officielle des JO, avec l’anglais – à Pékin. Non seulement en participant aux cérémonies d’ouverture des Jeux mais aussi par des visites de sites et des contacts avec les autorités chinoises et le CIO.
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