Polémique autour des visas (suite)
C’est moins à cause des relations entre Paris et Kigali que pour dossier incomplet que le président de l’Association de défense des intérêts des rescapés du génocide (Ibuka), Théodore Simburudali, et un de ses collègues n’ont pu obtenir leur visa pour la France et participer aux colloques organisés à l’occasion du 13e anniversaire du génocide d’avril 1994 (voir J.A. n° 2415). C’est en tout cas ce qu’indique le ministère français des Affaires étrangères. Ce dernier, qui précise n’avoir « aucune objection au déplacement de Simburudali en France », l’invite à renouveler sa demande auprès de l’ambassade belge à Kigali, qui représente les intérêts français, en y apportant les précisions nécessaires.
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