Bras de fer à l’OACI (suite)

Publié le 28 septembre 2008 Lecture : 1 minute.

Le confidentiel concernant la situation qui prévaut au sein de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) dont le siège est à Montréal (J.A. n° 2488) a suscité une mise au point de la part des deux principaux dirigeants, Roberto Kobeh González (président du conseil) et Taïeb Chérif (secrétaire général). Les deux signataires se disent « étonnés » par la teneur de cet article et précisent qu’il « n’existe absolument aucune friction » entre eux. « Nos relations ont toujours été excellentes, et ce depuis notre nomination au conseil de l’OACI en 1998, et nous continuons toujours d’entretenir des relations amicales. Les intentions que vous nous attribuez n’ont vraiment aucun sens. »

NDLR : Nous ne pouvons que donner acte à MM. González et Chérif de leur mise au point commune. Même si cette dernière ne correspond pas aux informations, recueillies auprès de sources directes et fiables, dont nous disposons.

la suite après cette publicité

La Matinale.

Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.

Image

Contenus partenaires