Chirac au secours du prince saoudien…
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud al-Fayçal, a été apostrophé, le 25 janvier à Paris, lors de la conférence de presse sur le Liban (voir page 15) par un journaliste israélien : « Nous n’avons pas de frontières avec votre pays et nous ne sommes pas en guerre, pourquoi le roi d’Arabie saoudite n’accomplirait-il pas, comme le président égyptien Anouar al-Sadate, une visite historique en Israël ? » Président de la conférence, Jacques Chirac a pris les devants en mettant fin à la séance et en se levant. Le prince est allé remercier le chef de l’État français pour son geste qui lui a probablement permis d’éviter une embrouille diplomatique, et ce en présence de la secrétaire d’État américaine, Condoleezza Rice.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise