On redessine et on recommence

Publié le 27 février 2005 Lecture : 1 minute.

En lui donnant un dessin plus affiné, en la dotant d’un intérieur plus chaleureux, en améliorant son comportement routier et son confort de conduite, le constructeur de Stuttgart donne un nouvel élan à la Classe A, faisant de son entrée de gamme une Mercedes à part entière.
La voiture est disponible en cinq portes et en trois portes, respectivement dénommées berline et coupé, selon une tendance actuelle. Il s’agit pourtant de la même carrosserie. Six moteurs sont proposés : trois diesels qui, malgré l’appellation des voitures (160, 180, 200), ont la même cylindrée de 2,0 litres pour des puissances de 82, 109 et 140 chevaux ; et trois essence de 1,5 litre (pour la 150, à 95 ch.), 1,7 l. (la 170, 116 ch.) et – celui de notre voiture d’essai, une 200 – de 2,0 l. (136 ch.).
Si cette motorisation confère à la voiture des performances faites pour la route, malgré un moteur un peu bruyant, la Classe A est aussi une excellente citadine grâce à la position de conduite, associée à la direction dont l’assistance est ajustée en fonction de la vitesse, du régime moteur, de l’angle de braquage. Même les moins doués trouvent les créneaux faciles ! Seul défaut : la visibilité de trois-quarts arrière est médiocre.
Par ailleurs, si la voiture reçoit, de série, les équipements à la sécurité, les systèmes d’aide à la conduite les plus demandés sont en option, ce qui renchérit vite le prix de la voiture. Il est vrai que le luxe, ça se paye.

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