et pour Konaré
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Sur le chemin de la capitale soudanaise, le président de la Commission de l’UA, qui voyageait à bord d’un avion prêté par le chef de l’État nigérian, Olusegun Obasanjo, devait passer le 24 mars par Cotonou. Une étape qui lui aurait permis de féliciter Boni Yayi, le nouveau chef de l’État, et de l’inviter, lui ainsi que ses prédécesseurs à la tête du pays, Nicéphore Soglo et Mathieu Kérékou, à entretenir un dialogue suivi. Pour des raisons pratiques, Konaré a été amené à différer ce déplacement. Ainsi que celui de Conakry, où il entendait, dans la situation passablement tendue qui prévaut dans le pays, appeler pouvoir et opposition au dialogue. Pour la même raison, il compte se rendre à N’Djamena pour obtenir que le président Idriss Déby Itno et son opposition se mettent autour d’une table avant la présidentielle du 3 mai prochain.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise